Olivier Lexa

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Olivier Lexa est un metteur en scène et auteur français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Parcours universitaire et musical[modifier | modifier le code]

Titulaire d’un master en management de la musique à l’Université Paris Sorbonne-Paris IV, d’un DEA d’histoire à l’Université de Provence Aix-Marseille I, d'un DEM de violon, musique de chambre, formation musicale, histoire de la musique au Conservatoire à Rayonnement Régional de Toulon, d’un DEM de violon baroque au Conservatoire de Paris XIe.

Olivier Lexa est doctorant en histoire du théâtre, sous la direction de Philippe Jockey à l'Université Paris-Nanterre (titre de sa thèse : Orphée et l’orphisme, de la religion philosophique à l’avènement de l’opéra (VIe av. J.-C. - 1600)[1]). Dans ce cadre, il est boursier et pensionnaire de l'École française d’Athènes en 2018[2].

Carrière[modifier | modifier le code]

Olivier Lexa commence sa carrière en collaborant à la mise en scène de Sallinger de Bernard-Marie Koltès par Geneviève Hurtevent au Théâtre du 3bisF à Aix-en-Provence en 1999.

À partir de 2004 et pendant trois ans, il occupe différentes responsabilités dans l’association Les Conversations essentielles qui combat les communautarismes à l'occasion de concerts et tables rondes à Paris et à New York.

En 2006, il devient l’assistant de Benjamin Lazar au Théâtre de l’Incrédule. À l’occasion de ces deux années de travail, il est notamment dramaturge sur Comment Wang-Fô fut sauvé[3] de Marguerite Yourcenar (Théâtre national de l'Opéra-Comique, Paris).

En 2006 toujours, Olivier Lexa est appelé au poste de codirecteur du festival Opéra des Rues[4] à Paris, qu’il occupera jusque la fin de l’année 2007 lorsqu’il est nommé directeur général du Palazzetto Bru Zane – Centre de musique romantique française[5].

Il écrit simultanément son premier roman publié, Morceaux choisis[6] (Éditions Léo Scheer, 2011) dont la sortie sera saluée par Alain Veinstein[7].

Récemment installé à Venise, Olivier Lexa fonde en 2010 le Venetian Centre for Baroque Music[8], dont le Conseil honoraire est présidé par la romancière Donna Leon, bientôt rejointe par Cecilia Bartoli, Philippe Sollers et d'autres personnalités. En 2011, Olivier Lexa publie Venise, l’Éveil du baroque – Itinéraire musical de Monteverdi à Vivaldi[9] (Archives Karéline). Cette parution est saluée entre autres par Alex Ross, critique musical du New Yorker[10].

Dans le cadre d’une autre inauguration – celle du pavillon français à la Biennale de Venise de 2011 –, Olivier Lexa assiste l’artiste Christian Boltanski[réf. nécessaire].

En 2014, Olivier Lexa signe la première biographie complète[réf. nécessaire] du compositeur Francesco Cavalli[11], parue en septembre chez Actes Sud et appréciée par la critique[12].

En 2015, il publie La Musique à Venise, toujours chez Actes Sud[13].

En 2016, Olivier Lexa publie son second roman, L’Éducation vénitienne[14], polar sur fond de carnaval vénitien, mettant en scène un serial killer inspiré du personnage de Donna Leon, atroce auteur de romans policiers à succès se déroulant à Venise et narrant en réalité ses propres crimes.

Après sept années passées à la direction du Venetian Centre for Baroque Music, Olivier Lexa fonde en 2017 la Fondazione delle Arti – Venezia[15] qu’il codirige avec Viola Romoli. Cette nouvelle fondation, dont le siège est au Palazzetto Pisani à Venise, soutient les activités culturelles sur le territoire vénitien[16]. En 2017, Olivier Lexa est aussi programmateur associé au pavillon français de la Biennale de Venise aux côtés de l’artiste Xavier Veilhan pour Studio Venezia[17].

La même année, à l’occasion du 450e anniversaire de la naissance de Claudio Monteverdi, Olivier Lexa publie un essai intitulé Monteverdi et Wagner, penser l’Opéra aux Archives Karéline[18].

En 2019, année du cinq-centième anniversaire de la mort de Léonard de Vinci, Olivier Lexa publie Léonard de Vinci. L’invention de l’opéra aux Éditions du Cerf[19],[20]. L’ouvrage présente des sources en partie inédites démontrant que les premiers opéras ont été créés à la fin du XVe siècle[21]. À la sortie du livre, Forumopera.com commente :

« L’auteur nous livre une somme appelée à faire date, un monument d’érudition. […] La révélation à laquelle il nous invite est propre à remettre en perspective les conditions de la naissance de l’opéra. Le cliché qui réduit l’œuvre du maître à quelques dizaines de peintures et à des inventions géniales n’a plus lieu d’être. […] Plus jamais notre regard sur les toutes premières productions lyriques, notre écoute aussi, ne pourront être semblables à ce qu’ils étaient. »[22].

En 2021, Olivier Lexa publie aux éditions Payot et Rivages la première anthologie de poésies de Laurent de Médicis en langue française, dans sa traduction[23]. La même année, il est nommé curateur des programmes culturels du Musée national romain à Rome[24].

En 2022, Olivier Lexa enseigne par ailleurs le jeu et la mise en scène à l’Académie de théâtre de l’Istituto nazionale del dramma antico de Syracuse[25].

Mise en scène[modifier | modifier le code]

En 2014, Olivier Lexa met en scène la recréation mondiale de L'Eritrea de Francesco Cavalli sur un livret de Giovanni Faustini, dans une production du Teatro La Fenice à Venise, saluée par la presse[26],[27].

En 2016, il est dramaturge sur la nouvelle production de I due Foscari de Verdi au Teatro La Scala à Milan avec Placido Domingo dans le rôle-titre[28], après avoir réalisé également la dramaturgie de la nouvelle production de L’Opera seria de Florian Leopold Gassmann au Théâtre royal de La Monnaie à Bruxelles sous la direction de René Jacobs[29].


En 2016 toujours, Olivier Lexa met en scène la recréation mondiale de L’Oristeo de Francesco Cavalli à l’Opéra de Marseille. La production reçoit un accueil mitigé du public et de la presse[30],[31]. Au Teatro La Scala, il est de nouveau dramaturge, cette fois sur la nouvelle production de Madame Butterfly de Puccini, dirigée par Riccardo Chailly[32].

La même année, il donne un séminaire sur la dramaturgie à l’opéra au Master in Arts Management and Administration (MAMA) à l’Université Bocconi et est membre du jury du premier Concours International de Musique Ancienne en Normandie[33].

En 2017, à New York, Carnegie Hall programme sa mise en scène de Angeli e Demoni sur une musique de Claudio Monteverdi, spectacle élaboré avec Leonardo García Alarcón et dirigé par ce dernier[34].

En 2018, à la Philharmonie de Varsovie, Olivier Lexa met en scène Naïs de Jean-Philippe Rameau[35]. La production est reprise à Opera Nova à Bydgoszcz[36].

En 2019, Olivier Lexa met en scène la création mondiale du Silence des ombres[37],[38],[39], opéra rassemblant les Trois Petits Drames pour marionnettes de Maurice Maeterlinck mis en musique par Benjamin Attahir. En short list pour le prix FEDORA Generali [40], la coproduction unit La Monnaie (Bruxelles), commanditaire de l’œuvre[41], Les Théâtres de la ville de Luxembourg, l’Opéra National de Varsovie - Teatr Wielki, la Chapelle musicale Reine Élisabeth et ENOA (European Network of Opera Academies).

En 2020, Olivier Lexa met en scène Camera oscura[42] au Spazio Cre.Zi.Plus de Palerme, spectacle théâtral basé sur le processus de la chambre noire, en collaboration avec l’Institut français de Palerme et issu d’une résidence au Musée d'Art contemporain de Rome (MACRO) en 2019.

En 2022, il met en scène une nouvelle production de Phèdre de Sénèque avec musique électronique, chœurs et danse à l’Istituto Nazionale del Dramma Antico à Syracuse et aux Thermes de Dioclétien (Musée national romain)[43].

Activités scientifiques[modifier | modifier le code]

Olivier Lexa initie le colloque « Venezia, Città della musica (1600-1750) - Stato delle ricerche e prospettive »[44] à l’Istituto Veneto (Venise, juin 2012) et collabore avec Leonardo García Alarcón à la recréation de Elena de Francesco Cavalli en 2013 au Festival international d'art lyrique d'Aix-en-Provence[45], initiant notamment le colloque « Eros in musica – Dramaturgie et pratique musicale chez Cavalli »[46].
Il fait partie du comité scientifique du colloque « Les Salles d’opéra en Europe » au Théâtre national de l'Opéra-Comique (Paris, novembre 2013)[47].
Il participe au colloque international « Gli amori d’Apollo e di Dafne and 17th-Century Concepts of Character » à Copenhague (février 2014)[48],[49], initie le colloque « Les musiciens italiens et vénitiens à Paris entre 1640 et 1670 » à Paris (mars 2014)[50], la journée d'étude « A metà secolo - L’apice di Francesco Cavalli fra drammaturgia e musica sacra (1650-1656) » au Teatro La Fenice à Venise, en collaboration avec la Société internationale de musicologie et le groupe de recherche "Cavalli and Seventeenth Century Venetian Opera" (juillet 2014)[51] et le colloque « Paris-Venise : les échanges musicaux, du texte à l’image (1680-1750) » (mars 2015)[52] en collaboration avec l'Institut culturel italien de Paris.

Depuis 2016, Olivier Lexa est chercheur associé au laboratoire ARCSAN (Archéologies et Sciences de l’Antiquité – CNRS, Université Panthéon-Sorbonne, Université Paris-Nanterre) dans l’équipe « Archéologie du Monde grec et systèmes d’information » [53].

Mises en scène[modifier | modifier le code]

Dramaturgies[modifier | modifier le code]

Collaborations artistiques[modifier | modifier le code]

Ouvrages publiés[modifier | modifier le code]

  • Morceaux choisis, roman (Éditions Léo Scheer, 2011)
  • Venise, l’Éveil du baroque – Itinéraire musical de Monteverdi à Vivaldi, essai (Archives Karéline, 2011)
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  • La Musique à Venise, livre d'art (Actes Sud, 2015)
  • L’Éducation vénitienne, roman (Lineadacqua[14], 2016)
  • Monteverdi et Wagner. Penser l'opéra, essai (Archives Karéline, 2017)
  • Léonard de Vinci. L’invention de l'opéra, essai (Éditions du Cerf, 2019)
  • Laurent de Médicis. Poésies, traduction (édition bilingue), préface et notes (Payot Rivages-Rivages Poche, 2021)

Textes dramaturgiques et principaux articles publiés[modifier | modifier le code]

  • Le Tombeau de Jean-Marie Leclair, Alpha (label), 2005[57]
  • Egisto au cœur de l’opéra vénitien, Théâtre national de l'Opéra-Comique, 2012[58]
  • 1600 (avec Rinaldo Alessandrini), Naïve Records, 2012[59]
  • Nouveau Monde (avec Patricia Petibon), Deutsche Grammophon, 2012[60]
  • Cavalli Turns towards Opera: The Implementation of a System, 1638-1640, dans Gli amori d’Apollo e di Dafne and 17th-Century Concepts of Character, Nordic Network for Early Opera, Copenhague, 2014[48]
  • Cavalli à Paris : une nouvelle approche, dans I Musicisti Veneziani e Italiani a Parigi (1640-1670), Venetian Centre for Baroque Music, Paris, 2014[50]
  • L’Eritrea di Giovanni Faustini e Francesco Cavalli, livre programme de la production L’Eritrea, Théâtre La Fenice, 2014
  • Francesco Cavalli, Heroines of the Venetian Baroque (avec Leonardo García Alarcón), Ricercar, 2015[61]
  • Amore innamorato (avec Christina Pluhar), Erato (label), 2015[62]
  • « Hò un cassone di musica antica », Calzabigi et L’Opera seria, Théâtre Royal de La Monnaie, Bruxelles, 2016[29]
  • I Due Foscari di Verdi, Teatro La Scala, Milan, 2016[28]
  • L’Oristeo de Cavalli et Faustini, Opéra municipal de Marseille / Théâtre National de La Criée, 2016[63]
  • Sospiri d'amore. Francesco Cavalli ou Le Théâtre de la séduction, Glossa (label), 2016[64]
  • Cavalli ou la duplicité des sentiments, livre programme de la production d'Eliogabalo[65], Opéra de Paris, 2016
  • Francesco Cavalli, De Venetiaanse opera, livre programme du Festival d'Utrecht, « La Serenissima », 2016
  • Alvis Hermanis e Madama Butterfly. Il gesto della fragilità, livre programme de la production Madama Butterfly, Scala de Milan, 2016
  • Orphée et Euridice à la Scala : Platon au Siècle des Lumières, revue Un Philosophe, 2018[66]
  • (Re)lire « Idea » d’Erwin Panofsky avant qu’il ne soit trop tard, revue Un Philosophe, 2019[67]
  • D’une rive à l’autre, livre programme du récital Nouveau Monde de Patricia Petibon, Philharmonie Luxembourg, 2019[68]
  • Entretien avec la compagnie Anagoor : vers une Renaissance contemporaine du théâtre italien, revue Un Philosophe, 2019[69]
  • Rossini-Schubert, « Mes rêves inachevés », livre programme, Philharmonie du Luxembourg, 2019[70]
  • Don Quichotte, la musique par le mythe, livre programme, Philharmonie du Luxembourg, 2020[71]
  • L’émotion pure (Fauré, Debussy, Beydts, Poulenc), livre programme du récital de Sabine Devieilhe et Alexandre Tharaud, Philharmonie du Luxembourg, septembre 2021[72]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. http://www.theses.fr/s175422
  2. https://www.efa.gr/images/bourse/BOURSIERS2018.pdf
  3. « Fiche de Comment Wang-Fô fut sauvé », sur lesarchivesduspectacle.net
  4. franceinfo, « Opéra des chants, opéra des rues : l'art lyrique à l'air libre à Paris », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  5. « Olivier Lexa et Benoît Dratwicki, directeurs du Palazzetto Bru Zane - ResMusica », sur ResMusica, (consulté le ).
  6. « Fiche de Morceaux choisis », sur Éditions Léo Scheer
  7. « Olivier Lexa », sur franceculture.fr, (consulté le ).
  8. Bruno Jacquot, « Venise retrouve sa musique », Le Figaro,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  9. « Venise, l’éveil du baroque », sur archiveskareline.fr
  10. (en)Alex Ross, « Musical Venice », sur therestisnoice.com,
  11. « actes-sud.fr/catalogue/musique… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  12. « Le Cavalli que l’on attendait / Forum Opéra », sur forumopera.com (consulté le ).
  13. http://www.vcbm.it/public/press_files/TC3A9lC3A9rama.pdf
  14. a et b « Lineadacqua® edizioni eventi », sur lineadacqua.com (consulté le ).
  15. (en) « Fondazione delle Arti - Venezia », sur Fondazione delle Arti - Venezia (consulté le ).
  16. Emmanuelle Giuliani, « À Venise, une nouvelle fondation pour promouvoir la culture », La Croix,‎ (lire en ligne).
  17. (en) « Dalston Jazz Posters - Cool Vintage Posters », sur Dalston Jazz Posters (consulté le ).
  18. « Archives Karéline », sur archiveskareline.fr (consulté le ).
  19. « Léonard de Vinci et l'invention de l'opéra d' Olivier Lexa - Les Editions du cerf », sur editionsducerf.fr (consulté le ).
  20. « Léonard de Vinci, l'inventeur (aussi) de l'opéra - ResMusica », sur ResMusica, (consulté le ).
  21. « Entretien avec Olivier Lexa : « Je reste abasourdi que la philosophie léonardienne n’ait été l’objet d’aucune étude approfondie » », sur Un Philosophe, (consulté le ).
  22. « Que n’a-t-il déposé un brevet ? / Forum Opéra », sur forumopera.com (consulté le ).
  23. « Poésies », sur payot-rivages.fr (consulté le ).
  24. « Olivier Lexa, ABOUT »
  25. « Scuola di teatro classico “Giusto Monaco”/DOCENTI »
  26. Eric Dahan, « Cavalli remis en selle », sur liberation.fr, Libération, (consulté le ).
  27. Ariane Bavelier, « « L'Eritrea » sauvé des eaux », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  28. a et b http://www.teatroallascala.org/en/season/2015-2016/opera/i-due-foscari.html
  29. a et b http://www.lamonnaie.be/en/502/573/L-Opera-Seria&tab=Cast
  30. http://vcbm.it/public/press_files/Screen_Shot_2016-07-06_at_100118.png
  31. Sophie Roughol, « L’Oristeo de Cavalli à Marseille : une résurrection tuée par le rire », Diapason Mag,‎ (lire en ligne)
  32. http://www.teatroallascala.org/en/season/2016-2017/opera/madama-butterfly.html
  33. « Le Poème Harmonique », sur poemeharmonique.fr (consulté le ).
  34. « Cappella Mediterranea », sur carnegiehall.org (consulté le ).
  35. http://filharmonia.pl/wydarzenia_en/early-music-concert4/
  36. (pl) « Teatr w Polsce - polski wortal teatralny », sur Teatr w Polsce - polski wortal teatralny (consulté le ).
  37. Marie-Aude Roux, « Premier opéra entre innocence et gravité pour Benjamin Attahir », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  38. Sophie Bourdais, « À l’Opéra Comique et à la Monnaie de Bruxelles, trois opéras flambant neufs », Télérama,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  39. « Le silence des ombres de Benjamin Attahir ou Maeterlinck actuel - ResMusica », sur ResMusica, (consulté le ).
  40. (en) « FEDORA - Shortlist 2021 », sur platform.com (consulté le ).
  41. « Le Silence des ombres », sur La Monnaie / De Munt (consulté le ).
  42. « Palermo/Camera-oscura »
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  44. http://www.vcbm.it/public/research_attachments/Venezia_citta_della_musica_-_Atti_della_giornata_di_studio_-_2012_1.pdf
  45. « Olivier Lexa - Marianne Chelkova », sur France Musique (consulté le ).
  46. http://www.vcbm.it/public/research_attachments/Eros_in_musica_Dramaturgie_et_pratique_musicale_chez_Cavalli_1.pdf
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  70. « Gustavo Gimeno – Rossini »
  71. « Rolando Villazón «Don Quichotte» »
  72. « Sabine Devieilhe & Alexandre Tharaud »

Liens externes[modifier | modifier le code]